Il n’y a aucun survivant suite à la collision d’un hélicoptère militaire et d’un avion de ligne à Washington, dans la nuit du 29 au 30 janvier. Avec un total de 67 victimes, cet incident qui survient quelques jours après le retour de Donald Trump à la Maison Blanche est la catastrophe aérienne la plus mortelle aux États-Unis depuis novembre 2001.
Pour l’heure, il est impossible « d’établir ou d’exclure » une erreur humaine ou un incident mécanique, a déclaré à la presse Todd Inman, responsable de l’Agence américaine de sécurité des transports (NTSB) cité par Rfi.
Selon des médias américains, les effectifs de la tour de contrôle de l’aéroport Ronald-Reagan n’étaient « pas » à leur niveau « normal » au moment de la catastrophe, rapporte Rfi.
« Le contrôleur qui s’occupait des hélicoptères dans la zone de l’aéroport mercredi soir donnait aussi des instructions aux avions qui atterrissaient et décollaient. (…) Ces fonctions sont typiquement assignées à deux contrôleurs plutôt qu’à un seul », peut-on lire dans le rapport préliminaire du régulateur américain de l’aviation (FAA), cité par le New York Times.
Ces informations de presse ne sont pas encore confirmées par les enquêteurs.