Élections parlementaires au plus tard le 25 février 2022 et ensuite la présidentielle : ce nouveau calendrier électoral doit être respecté en Somalie sous peine de sanctions des Etats-Unis.
« Nous appelons tous les dirigeants Somaliens, nationaux et fédéraux à respecter le nouveau calendrier et à corriger les irrégularités de procédure qui ont entaché le processus jusqu’à présent. Les élections en Somalie ont pris plus d’un an de retard, et le 8 février, cela fera un an que le mandat du président a expiré. Les États-Unis sont prêts à utiliser les outils appropriés, y compris éventuellement des restrictions en matière de visas, pour répondre à de nouveaux retards ou à des actions qui compromettent l’intégrité du processus électoral », a indiqué le porte-parole du département d’Etat américain, Ned Price.