Au Sénégal, le nouveau pouvoir, incarné par le président Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre, Ousmane Sonko, souffle sa première bougie.
« L’agenda en marche », titre Le Soleil à Dakar qui pointe « un an de gouvernance et un cap affirmé. »
En effet, précise Seneweb, « en l’espace de douze mois, le cinquième président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a pris des décisions marquantes qui témoignent d’une rupture avec l’ancien régime ».
Seneweb en détaille les principales : « la fermeture des bases militaires étrangères », en l’occurrence, les bases françaises ; « la dissolution de l’Assemblée nationale » pour asseoir une majorité présidentielle ; « la réactivation de la Haute Cour de Justice » ; « la renégociation des contrats pétroliers et gaziers » ; « la suspension des accords de pêche avec l’Union européenne » ; ou encore « la publication de tous les rapports d’enquête afin de garantir une gestion transparente des fonds publics ».
Certes, relève DakarActu, « des réformes ont été engagées, certaines avancées notables ont été réalisées, mais les défis restent colossaux ».
« Les défis économiques, en particulier, sont énormes. Le chômage des jeunes, la précarité, l’inflation et la dette publique sont des problèmes urgents qui nécessitent des solutions rapides et efficaces ».
Au cours de cette première année au pouvoir, pointe 24 Heures, le tandem Bassirou Diomaye Faye – Ousmane Sonko a dû faire face aussi à de graves problèmes financiers.
Enfin, cette tribune publiée par WalfQuotidien qui dénonce le radicalisme du Pastef, le parti au pouvoir : « le Pastef a réussi la funeste prouesse d’avoir divisé ce pays en deux camps : le camp des bons et celui des “méchants“ », peut-on y lire.